GENÈSE …
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Voilà comment tout a commencé …
Le 11 septembre 2001, j’apprends, stupéfié et horrifié, le détournement par des pirates de l’air de 4 avions de ligne dont deux se sont crashés sur les tours jumelles du WTC, créant des incendies et finalement leur effondrement.
L’impact des avions avec les tonnes de kérosène enflammé provoque un feu et une chaleur si intense que les structures d’acier finirent par céder. Les tours fondirent, se réduisirent en poussière provoquant la chute de 110 étages en 10 secondes environ. Cet attentat immonde fit près de 3000 morts dans des conditions atroces. Il laissa un espace de 65 000 mètres carrés recouvert de 2 millions de tonnes de gravats mélangées à la poussière des victimes.
Pendant des semaines, les télévisions, toutes chaînes confondues, diffusent en boucle ; la chute des tours ; les corps, pathétiques pantins désarticulés, choisissant de mourir par le vide plutôt que par le feu ; les signes de détresse des pauvres gens accrochés aux fenêtres au milieu d’un nuage de fumée et de feu et agitant fébrilement mains et mouchoirs ; la panique générale des gens choqués fuyant de tous côtés ; l’énorme nuage de poussière déferlant comme une vague monstrueuse à la poursuite des habitants de Manhattan ; les visages horrifiés, désemparés, impuissants des New-yorkais, qui à l’abri, assistent aux scènes apocalyptiques avec des yeux épouvantés, remplis de larmes et les mains agrippées au visage en psalmodiant : Oh ! Mon Dieu !
J’étais en colère et le monde entier était en colère.
Trois jours après, la photo des 19 pirates apparaît sur les écrans de télévisions et à la une des journaux du monde entier.
Je saluais avec admiration la performance des services secrets américains FBI et CIA et je n’étais pas le seul à m’extasier. On se pâme devant Bush, tenant paternellement par les épaules le pompier sur les ruines encore fumantes et hérissées de poutres d’aciers, qui harangue la foule et le monde entier en clamant une riposte foudroyante, une guerre sans merci contre les coupables de l’attentat et tous les gouvernements qui soutiennent le terrorisme :
- Je vous entends, le monde vous entend. Et ceux qui ont détruit ces tours vont bientôt entendre parler de nous.
Au cours des jours et des semaines qui suivirent Bush et les hommes de son administration occupent continuellement l’espace des médias.
Cheney, le vice-président ; Donald Rumsfeld, le ministre de la Défense ; Richard Perle le conseiller ; Condoleeza Riz la secrétaire d’État, martèlent les téléspectateurs des mêmes mots qui reviennent inlassablement : fanatisme, terroristes, armes de destruction massive, terreur, monde en danger, guerre au terrorisme, assassins, axe du mal, Irak, Al Qaïda, Saddam Hussein, Ousama Ben Laden, etc. Le peuple américain soudé et les nations de la terre se dressent d’une même voix contre les auteurs et les commanditaires d’un tel crime. Au lendemain de l’attentat et les jours suivants, l’Amérique, tout parti confondu, vibre à l’unisson avec son président si farouchement déterminé à en découdre avec l’Axe du mal quel qu’il soit et où il se trouve.
Sans relâche et jusqu’à la nausée, la télévision montre la chute des 2 tours ; au point qu’un père désespéré ayant perdu un fils téléphone à une chaîne :
- Combien de fois allez-vous montrer ces foutues tours qui s’écroulent ? ! Mais vous n’avez donc aucun respect pour ceux qui ont perdu des enfants, des parents, des amis ? Sommes-nous obligés de les voir ; ça fait cinquante fois que je les vois tomber ! S’il vous plaît, arrêtez ! Vous me déchirez le cœur !
Le 16 septembre, cinq jours seulement après les attentats, le secrétaire à la Défense, animé d’un incroyable esprit prophétique, annonce :
- Une nouvelle attaque de terroristes peut arriver à tout moment. (…) Ils peuvent nous menacer de guerre chimique et biologique, de missiles.
Le 18 septembre, cinq grands médias et deux sénateurs américains reçoivent une lettre contenant les bactéries d’anthrax. Ces enveloppes contiennent un message : « 11/09/2001, c’est la suite. Prends la Penaciline maintenant. Mort à l’Amérique, mort à Israël, Allah est grand »
Les États-Unis demandent à l’Afghanistan dirigé par les Talibans de leur livrer Oussama Ben Laden. Les Talibans refusent et déclarent qu’ils le livreront à condition que les Américains fournissent les preuves de son implication dans les attentats. Bush et Blair passent outre et le 7 octobre, leurs troupes envahissent l’Afghanistan. Pour moi, c’était juste et les Talibans n’étaient que des hypocrites et extrémistes religieux qui l’avaient bien cherché.
Le 29 janvier 2002, dans son discours sur l’État de l’Union, George W. Bush accuse l’Irak, l’Iran, et la Corée du Nord,de constituer « l’axe du mal » et le 7 octobre 2002 lors d’une intervention télévisée il accuse l’Irak d’entraîner « des membres d’Al-Qaida à la fabrication de bombes, de poisons et de gaz mortels ». Il poursuit l’escalade jusqu’à son prochain discours sur l’Union, le 28 janvier 2003, où il accuse plus précisément Saddam Hussein d’avoir cherché à se procurer de l’uranium en Afrique.
Ensuite régulièrement avec toute son administration, il ne cessera de marteler que Saddam possède des armes de destruction massive, jusqu’au 11 octobre où le Congrès l’autorise à recourir à la force armée contre l’Irak.
Le 20 janvier, la France préside le conseil de sécurité de l’ONU. Elle demande une réunion solennelle au niveau des ministres sur le terrorisme. Lors d’une conférence de presse, Dominique de Villepin, pris à partie par un représentant de la presse américaine, répond :
- Nous pensons aujourd’hui que rien ne justifie d’envisager l’action militaire.
Le 10 mars, Jacques Chirac prend ses responsabilités :
- Quelles que soient les circonstances, la France votera « NON », car elle considère, ce soir, qu’il n’y a pas lieu d’en venir à la guerre pour atteindre l’objectif que nous nous sommes fixé ; c’est-à-dire le désarmement de l’Irak.
Dominique de Villepin commente la déclaration du président :
- Nous refusons en d’autres termes de déléguer de façon automatique notre responsabilité d’un recours à la force. Tout simplement parce que pour la France, faire la guerre, ça ne se délègue pas et ça s’analyse en fonction de circonstances précises et particulières, on ne se remet pas à un processus quelconque pour décider s’il faut ou non faire la guerre.
J’ai admiré la position de la France par l’intermédiaire de Jacques Chirac et Dominique Villepin et je commençais à me poser des questions sur les « va-t-en-guerre » de Bush, Blair et compagnie. Cependant, pour moi, il n’y avait pas de doute : c’était les 19 pirates qui avaient percuté les 4 avions de ligne sur les Tours, au Pentagone et à Shanksville en Pennsylvanie, sous les ordres de Ben Laden, faisant plus de 3000 victimes.
Un soir de l’année 2004, ma femme apporta à la maison le livre de Thierry Meyssan : « L’effroyable imposture ». Elle me dit :
- Pierre G., m’a prêté ce livre. Il affirme des choses incroyables sur le 11 septembre…
J’ai lu « L’effroyable imposture ». Ce livre m’a poussé à me poser beaucoup de questions. J’ai voulu connaître la vérité et quelle que soit la vérité. Par la suite, j’ai recherché et je recherche encore d’un coeur sincère et avec une intention réelle à connaître la Vérité sur le 11 septembre …
LES POINTS CLÉS DU 11 SEPTEMBRE
Les points-clés du 11-Septembre
La rubrique « Points-clés du 11-Septembre » réunit 11 articles factuels qui s'appliquent à rapporter les principaux faits relatifs au 11-Septembre, avec un souci d'objectivité et dans le respect des règles du journalisme : citation des sources, recoupement de l'information, recherche de la contradiction.
L'association ReOpen911 s'engage à rectifier toute information qui se révélerait inexacte.
1L'enquête sur les attentats du 11 Septembre : une enquête non grata
Le gouvernement Bush s'est opposé à ce qu'une enquête ait lieu sur les attentats du 11 Septembre 2001. Ce n'est que sous la pression médiatisée des familles de victimes qu'une Commission fut finalement mise en place ... mais l'enquête fut pilotée par la Maison Blanche et entachée d'obstacles et d'obstructions répétés ; et les conclusions du rapport furent rédigées avant même que ne commencent les auditions de la Commission.
2Une « attaque surprise » ... pas si surprise que ça
Les autorités américaines ont défendu la théorie de « l'attaque surprise » à laquelle elles n'étaient pas préparées. Or, elles savaient qu’un attentat d’une telle envergure risquait d’avoir lieu sur leur territoire vers le mois de septembre 2001... et elles y étaient préparées : les Etats-Unis avaient mené plusieurs exercices qui simulaient des détournements d’avions de ligne par des terroristes dont les cibles étaient... le Pentagone et les Tours Jumelles.
3Mystérieux délits d'initiés boursiers à la veille des attentats
Des investisseurs ont eu connaissance de l'imminence des attentats qu’ils ont exploitée sur les marchés pour en tirer des profits colossaux, notamment en spéculant à la baisse sur les actions des compagnies aériennes dont les avions seront détournés. En dépit des évidences, les enquêtes officielles ont conclu qu’il n’y avait pas eu délits d’initiés au motif que les spéculateurs n’étaient pas liés à Al-Qaida.
4Une défense aérienne inexistante
En 2000, la défense aérienne américaine a conduit 67 interceptions d'avions avec un taux de réussite de 100%, et ce dans un délai maximum de 20 minutes. Le 11 Septembre, 2h se sont écoulées sans aucune interception : 4 échecs, 0% de réussite. Un fiasco qui n'empêcha pas les hauts responsables de la défense aérienne et de l'aviation civile d'être confirmés dans leurs fonctions ou promus.
[Article en cours de rédaction]
5Les explications officielles de la chute des Tours Jumelles : fiction ou réalité ?
Des centaines de témoignages d'explosions, des effondrements à une vitesse proche de la chute libre, des feux inextinguibles dans les décombres, la présence d'acier fondu, etc. ... Autant de phénomènes que la théorie officielle des effondrements (par incendies) ne parvient pas à expliquer et qui donnent lieu à de vives controverses scientifiques.
6L'effondrement magique de la tour WTC7
7 heures après les tours jumelles, une troisième tour haute de 47 étages, le WTC7, s'est effondrée sur elle-même en à peine 7 secondes. Sans raison apparente puisqu'aucun avion ne l'avait percutée. Chose étrange, la BBC et CNN annonçaient son effondrement ... avant même qu'il ne survienne ! La Commission d'enquête a passé le cas sous silence.
7Le témoignage fort dérangeant du ministre des transports américain
L'avion de ligne qui s'est écrasé sur le Pentagone, si tant est qu'il s'agit bien d'un avion de ligne, fut repéré suffisamment tôt pour permettre sa neutralisation, selon le témoignage télévisé du ministre des Transports devant la Commission d'enquête. Ce témoignage fort dérangeant fut exclu du rapport officiel.
8Les pirates de l'air ... identifications douteuses
De sérieuses incertitudes planent sur la véritable identité des pirates de l’air et sur leur appartenance supposée à Al-Qaida et à l'islam radical. Il n'y a pas non plus la moindre preuve que des pirates soient réellement montés à bord des avions de ligne du 11-Septembre ... et de nombreux pilotes chevronnés jugent les compétences de pilotage des présumés pilotes incompatibles avec les manœuvres qu'ils sont censés avoir exécutées.
9Ben Laden inculpé par les Etats-Unis ... mais pas pour les attentats du 11 Septembre
Ben Laden a nié à plusieurs reprises toute implication dans le 11-Septembre, et il n’a jamais été inculpé par les autorités américaines pour ces attentats. Quant aux "vidéos de Ben Laden" régulièrement présentées comme preuve indiscutable de sa culpabilité, elles sont en réalité falsifiées ou fortement sujettes à caution.
10Le Pakistan : un allié ... très suspect
Le directeur des services secrets pakistanais a transféré 100.000$ au présumé pirate de l’air Mohammed Atta en août 2001, sans jamais être inculpé par les Etats-Unis ... et étonnante coïncidence, il était en visite officielle à Washington lorsque les attentats se produisirent. Le soir même du 11/9, ce personnage vraisemblablement impliqué dans les attentats établissait un partenariat de lutte contre le terrorisme avec les Etats-Unis.
11Les attentats du 11 Septembre : une aubaine pour l'Administration Bush
En 2000, des membres du futur gouvernement Bush signèrent un rapport stipulant qu'un "événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor" serait utile pour préserver la domination mondiale des Etats-Unis. Quant aux guerres d'Afghanistan et d'Irak, elles étaient très vraisemblablement planifiées avant même le 11 Septembre.
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